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Jeté sur toi

Je me serais presque jeté sur toi,
Comme ça, à la sauvage,
Tu n’aurais assurément pas apprécié.
Tu ronflais, pas très glamour, c’est sûr.

Mais tu étais là,
Sur le ventre, étendue,
Juste une culotte,
Celle à raies de couleur.

Dans la lumière de la télé,
rasante,
Éclairant tes belles formes,
D’une lumière vibrante,

Ton dos, tes fesses,
Tes cuisses et tes jambes,
Resplendissaient dans le soir,
Comme d’une lumière intérieure.

Ta culotte te rentrait un peu dans la raie,
Et, entre tes jambes,
Dépassaient quelques poils,
Noirs, frisés.

Envie de m’allonger contre toi,
Peser sur ton corps,
Et te réveiller en chuchotant,
Quelques mots dans ton cou.

Caresser aussi le haut de tes jambes,
Tes fesses, le bas de ton dos,
Et bien sûr revenir,
Sur ta raie si bien soulignée.

Mes rêveries nous menaient,
Quelque part dans le genre:
Toi excitée, toujours sur le ventre, arquée,
clouée sur mon membre.

Moi, le pieu exubérant,
Très grand, ou gros, bien sûr,
Les dents dans ta nuque,
Chuchotant des horreurs.

Toi, poussant tes fesses contre moi,
Pour t’empaler plus profond encore,
Et attentive,
À ce que l’on jouisse ensemble.

Mais je me retirais,
Et t’enlaçant dans me bras,
Je ne laissait que mon doigt,
T’étriller la chatte ou l’anus.

Pour faire durer infiniment,
Ce plaisir immense,
De quand je sens que tu viens,
Tu t’abandonnes, et m’adores…

Mais tu t’es réveillée,
Subitement, comme tu le fais souvent.
Deux mots, une caresse,
Tu t’endors à nouveau.

Tout va bien,
Dors ma chérie,
Merci pour ces lumières,
Qui sortaient de ton corps.

Et pour ces pensées salaces,
Que j’aime à cultiver,
Parce qu’elles nous maintiennent,
Comme deux jeunes amants.

NSFW: yes

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